I) Identité :
Nom + Prénom : Märchen Stanford
Âge : Une quarantaine d'années en apparence
Sexe : Masculin
Orientation sexuelle : Hétéro
Groupe : Personnification de la Colère
Métier : Propriétaire de la boutique et librairie d'ésotérisme et d'objets magiques et étranges en tout genre "Beyond Oblivion". Il peut également servir comme prof de sciences étant doué en génétique et autres specificités anatomiques. Il attend d'être convoqué plutôt que de postuler lui même.
Clan : Neutre
II) Description :
Dons/Objets magiques : Il a la maitrise de l'énergie électrique qui lui permet de stimuler le corps, influencer les objets marchant à l'électricité ou envoyer des éclairs plus ou moins concentrés.
Il peut influer sur les perceptions pour endormir faisant pénétrer l'âme d'une personne dans un monde illusoire qu'il dirige au gré de ses envies (nécessite un contact physique).
Il possède des chaînes greffées dans son dos et qu'il peut maîtriser comme n'importe lequel de ses membres en les faisant jaillir de son dos.
Physique : (4 lignes minimum.) La pluie battait, froide et impitoyable au dehors du bar. L'atmosphere intérieure était rassurante, sans être étouffante, le bar étant connu pour cette sérénité plus que par les affaires s'y déroulant au sous-sol. Mais dans cette affaire le sous-sol ne nous intéressait pas, seul comptait la salle, à la clientele hétéroclite allant du bourgeois refugié en attendant l'accalmie au pillier de taverne ronflant l'air d'une chanson paillarde. Mais dans cette salle, le regard d'un nouveau venu se portera obligatoirement sur le comptoir, où la tenancière aux courbes interessantes servait des boissons aux noms mirobolants. Accoudé au zinc, un homme à l'apparence différente de cette société, sirotait paisiblement un verre de whisky, sans accorder un regard à quoi que ce soit. Perdu dans les méandres insondables et nébuleuses de son esprit, son expression changeait de maniere aléatoire au fil de ses pensées. Si tu étais un de ces hommes entrant trempés, cherchant avidement refuge au deluge, sans nul doute tu te serai assis à cote de lui. Il aurait tourné la tête en t'entendant et t'aurait sûrement adressé un sourire absent ne voulant rien dire.
En le regardant, plusieurs choses t'auraient frappé. Vêtu à la mode du XIXeme siècle, d'une chemise de belle facture et d'un ensemble bleu nuit, l'individu irradiait, malgré une sorte de non viellesse qu'il affichait, l'aura de celui qui aurait vécu plusieurs siècles. Mais au delà de cela, sa présence était troublante. Il était maigre, les os de son bras et de sa main étaient apparents, son visage émacie présentait des cernes violettes. D'aucun aurait dit qu'il était comme anorexique. En dehors de cela, sa peau pâle faisait ressortir la couleur de ses cheveux longs, laissés lachés et de sa barbe, plus rouges que roux. Il était borgne et son oeil valide était d'un gris profond, pénétrant, avec des reflets anthracite. Mesurant dans les 1m75 il n'était pas particulièrement grand mais dégageait un certain charisme. Sa vestimentation se complètait d'un chapeau à larges bords assorti à sa tenue, qu'il avait posé sur la table.
Psychologique : Intrigué tu voulais savoir qui il était mais n'osait pas lui parler. L'oppurtuner, le chasser de son monde imaginaire te semblait une très mauvaise idée. Il n'était pas antipathique mais n'aimait pas être dérangé, cela se voyait de la manière avec laquelle il répondait aux questions de la tenancière. Evasivement, la voix teintée d'une pointe d'agacement. A en voir la manière dont il pouvait te sourire un instant et paraître énervé celui d'après, il te sembla tout à coup terriblement indécis et versatile. Jamais fixe à une position, toujours changeant d'avis, ce qui pouvait le faire sourire un instant pourait attirer son animosité celui d'après. Et ses pointes de colère, tu les sentait violentes. Ayant fini de penser, à ce que tu voyais, il se tourna vers toi pour te saluer amicalement. Tu fis de même. Semblant sortir d'une certaine torpeur il appella la tenancière et lui souffla un mot qui la fit frémir d'effroi. Il rigola, pas méchament, plutôt comme un enfant qui avait fait une blague. Tu en tira la conclusion, qu'il aimait faire peur et avait l'air un peu enfantin, même face à toi. Cela semblait cacher quelque chose. Lorsqu'il parlait tu notais qu'il avait un accent autrichien, mais que son anglais était sans faute. Il avait souvent des rires nerveux et son regard n'était pas fixe. Ses doigts bougeaient frénétiquement sur le comptoir, comme une sorte de tic. Au delà des paroles banales proférées d'un ton badin, tu remarquais que son regard t'évaluait...
Test RP :- Désires-tu que je te raconte une histoire, une chose que j'ai vécu ?Pris au dépourvu, tu babilla ton consentement. Il semblait joyeux de cette perspective. Avec un indéniable talent de conteur il commenca :
- C'était une nuit sordide, vers 1857, juste après la guerre de secession. A cette époque je vivais dans le Kansas, dans une bourgade du nom de Renver Town. J'étais sur mon cheval gris, dont le nom était Behemoth. Un fier destrier, nous avions parcouru des kilomètres au galop et la brave bete ne s'était pas arrêtée. Les étoiles brillaient dans un ciel aussi pur qu'une mer d'encre. A Renver, peu de gens dormaient malgré l'heure. C'était la nuit que cette ville était la plus vivante. Et c'était pas des affaires propres en général. Mais qu'importe je devais retrouver mon frere et ma femme. Elle s'appellait Cassandre et c'était un vrai joyau. Elle était pure comme un ange et belle comme le diable. J'entrais donc dans le saloon, poussant à la volée les portes de l'établissement. Mon frere y était ligoté et bailloné. J'entendais des cris venant de l'étage. La salle était vide. J'avais pas le temps de détacher William - c'etait le nom de mon frere - les bruits obsènes de l'étage demandaient à ce que j'aille verifier. Montant sans m'arrêter les marches de l'établissement, je me retrouvais nez à nez avec deux molosses gardant une pièce. Vivement je les écartais de mon chemin. J'étais armé et eux... Ils n'avaient pas eu le temps de porter la main à leur colt. Ce que je vis a l'interieur me fit entrer dans une fureur sourde. Ma femme était étendue sur le sol, blanche, vidée de sa vie, nue, la gorge tranchee, les yeux révulsés, baignant dans différents fluides corporels. A côté d'elle un homme... Etait-il humain ? Je ne sais plus. A ce que j'ai vu il l'avait violée puis égorgée puis sans doute encore abusé de son corps inerte. La fureur brouillait mon esprit. Je l'ai tué déchargant sur lui mes deux barillets. Ses amis entrèrent ensuite. Mon manque de vigilance me coûta mon oeil droit. Ils périrent. Dans d'atroces souffrances dont mon esprit malade se délecta. Puis plus rien... Tout est devenu flou. Je me suis évanoui pour me réveiller deux jours plus tard en proie à une fievre titanesque. Enfin... Cela m'a fait plaisir d'avoir pu confier cela à quelqu un... Désolé de vous avoir troublé...Tu t'éloignas de lui. La pluie s'étant arretée, tu sortis. De la sueur coulait sur tes tempes et courait le long de ton échine au souvenir de son sourire lorsqu'il a évoqué la mort. Le sourire d"un fou...
III) Vous :
Prénom : Âge : 16 ans
Comment avez-vous connu le forum ? parcourant les vastes étendues d'internet
Double compte ?[/b] (Si oui de qui.) nan
[i]Un petit mot en plus ? La folie ? Que savez vous a son sujet ?
ADMIN: Correction faite.